Anna Klein aura le privilège de participer au 69ème congrès de l’Union Internationale des Avocats qui se tiendra à Guadalajara au Mexique du 29 octobre au 2 novembre 2025.
Cet évènement rassemblera des avocats du monde entier pour échanger sur de nombreuses problématiques juridiques d’actualité, dans des domaines du droit variés.
Au cours de cet évènement, Anna Klein aura l’honneur d’être panéliste à deux occasions.
Le jeudi 30 octobre matin, elle s’exprimera dans un premier temps dans le panel organisé conjointement par la commission « Propriété Intellectuelle » et la commission sur le « Droit de la Mode ».
Le thème de ce panel est : « Quand la tradition rencontre l’innovation : instruments de propriété intellectuelle pour la sauvegarde du patrimoine et de l’excellence, en particulier dans le secteur de la mode »
Résumé des problématiques abordées :
« Cette session permettra d’examiner les divers instruments de propriété intellectuelle conçus pour protéger l’excellence traditionnelle et le patrimoine culturel, en particulier dans le secteur de la mode et de l’artisanat.
Les sujets abordés comprennent le nouveau règlement européen sur les indications géographiques pour les produits artisanaux, les marques de certification, l’appellation « Made In » comme indicateur de qualité et d’origine ainsi que d’autres cadres de propriété intellectuelle protégeant l’authenticité et la provenance.
Le débat portera également sur la problématique croissante de l’appropriation culturelle, en examinant comment le droit de la propriété intellectuelle peut concilier innovation et respect des savoirs traditionnels et du patrimoine. Les participants acquerront des connaissances pratiques afin de gérer l’interaction entre la tradition et innovation tout en veillant à ce que les industries créatives et les identités culturelles soient respectées et préservées. »
Dans un second temps, l’après-midi du jeudi 30 octobre 2025, elle s’exprimera dans le panel organisé conjointement par les commissions « Droit des technologies de l’information », « Droit et Pratique du Contentieux » et « Vie privé et Droits de l’homme numérique ».
Ce panel concernera le thème suivant : « Données sans frontière : examen comparatif des lois sur les transferts de données transfrontaliers et de leur impact sur le contentieux »
Résumé des problématiques abordées :
« L’UE, les Etats-Unis et d’autres juridictions ont adopté des lois qui réglementent l’exportation de données personnelles, la diffusion de données personnelles et l’accès des consommateurs et des employés aux données personnelles. Cette session permettra de voir comment les transferts de données transfrontaliers et les droits d’accès aux données sont traitées dans diverses juridictions, les conséquences de ces approches en matière de contentieux et les stratégies que les avocats plaidants et les juristes spécialisés dans la protection des données peuvent adopter pour affronter les défis et les opportunités qu’impliquent ces lois sur la protection des données.
Le premier panel discutera notamment des similitudes et des différences entre l’UE, les États-Unis et d’autres juridictions en matière de réglementation des flux transfrontaliers de données personnelles et émettra des recommandations pratiques sur la meilleure combinaison de garde-fous (qu’il s’agisse de clauses contractuelles standard, de règles contraignantes pour les entreprises, de codes de conduite ou de mécanismes de certification) afin d’assurer la conformité des transferts de données transfrontaliers aux lois en vigueur.
Le deuxième panel examinera les conséquences de ces restrictions du transfert de données transfrontalier, des autres exigences de protection des données et des restrictions documentaires en général sur l’accès aux informations dans les contentieux. Par exemple, les restrictions des transferts de données transfrontaliers et de la divulgation des données personnelles aux parties adverses peuvent entraver l’obtention des informations requises lors du contentieux. »
Enfin, cet évènement sera l’occasion d’échanger avec des professionnels du droit du monde entier, et de nouer des partenariats précieux. Ces connexions internationales sont essentielles dans le cadre d’une pratique à dimension internationale. Elles permettent non seulement de partager des expériences et des perspectives juridiques variées, mais aussi de renforcer la compréhension des différences culturelles et réglementaires qui influencent la pratique du droit à l’échelle mondiale. Ces échanges contribuent à enrichir la réflexion, à améliorer la qualité du conseil, et à ouvrir de nouvelles opportunités de collaboration transfrontalière.

